En s’associant dans le projet Interreg « ExtraBark » à trois autres laboratoires de Lorraine et du Luxembourg, les chercheurs wallons s’ouvrent de nouvelles pistes pour la transformation des vieilles écorces des forêts en recettes de base pour la protection de plantes et de bois.
Un bel exemple d’apport mutuel de compétences au-delà des frontières les plus proches : le projet « ExtraBark » unissant des laboratoires wallons, luxembourgeois et lorrains fait office de modèle de valeur ajoutée transfrontalière, en l’état de son avancement au bout d’un an.